Dubaï
La fin ?
Dubaï, cest les voitures de luxe, les extravagances, les excès en tout genre sous un soleil de plomb. Près des sables du désert dArabie Saoudite, Dubaï a grandi près des eaux calmes du golfe Persique en atteignant un luxe inouï et un gigantisme qui attirait tous les hommes daffaires et les vedettes du show biz du monde entier. Les Ferrari se frayaient un chemin au milieu des Rolls et des Porsche, des îles en palmiers voyaient le jour, les immeubles luxueux se dressaient vers le ciel comme une cible impossible à atteindre Dubaï, cétait le rêve des milliardaires, les hôtels de luxe, les piscines à en être jaloux Dubaï, au milieu des sables chauds cétait aussi une petite piste de ski Le comble du luxe sous un soleil ardent ! Lexcès était partout à Dubaï
Mais sous le luxe se cachait une situation économique désastreuse surtout depuis le début de la crise économique Dubaï sest tu, Dubaï sest cachée mais mercredi soir Il a bien fallu que Dubaï sorte de sa torpeur et de son silence pour avouer que lEmirat était au bord du gouffre et que la faillite pointait le bout de son nez Mercredi soir, les lumières se sont éteintes pour le début de lAïd al-Adha pour certainement de longues vacances Les grues se sont arrêtées, les chantiers ont été désertés pour avouer que Dubaï avait des dettes énormes, plus que son PIB. Le communiqué a été bref : Dubaï a demandé à tous ses fournisseurs une prolongation déchéance jusquau 30 mai 2010. Les deux sociétés dépendant de lEtat imploraient donc les banques de leur accorder un sursis, ce qui, évidemment, suggérait que lEmirat était en mauvaise posture
Ce communiqué a provoqué un vrai chaos dans le monde de la finance Quoi ? Dubaï ne peut plus régler ses dettes ? Officiellement, la dette est de 80 milliards de dollars mais officieusement, il se murmure que cela pourrait être le double ! Quant à la trésorerie, elle aurait peu ou proue disparu Ce fut donc le branle-bas de combat chez les banques occidentales et les entreprises de construction, la tour qui devait être la plus haute du monde, nétant même pas finie !
Hier jeudi, dans toutes les places boursières, les indices étaient en chute libre, augurant peut-être dune nouvelle catastrophe à la Lehman Brothers
Désormais, les Kylie Minogue et autre David Beckham ou Paris Hilton ont déserté Dubaï, Kylie Minogue ayant fait linauguration du célèbre hôtel Atlantis où lon peut admirer la faune sous-marine dans les chambres Encore une folie dans le luxe !
Aujourdhui, les voitures sont couvertes de poussière à laéroport, les propriétaires fuyant les lieux et un Etat qui utilise encore la prison pour dettes
Alors qui a fait quoi à Dubaï et pourquoi ? Pourquoi ne pas avoir prévenu plus tôt ? Pourquoi avoir laissé les choses se poursuivre jusquà la faillite ? Pourquoi le Sheikh Mohammed na-t-il dit un mot sur la situation ?
En tout cas, Dubaï mettra du temps à se remettre et à attirer à nouveau toute la jet set du monde entier et les investisseurs. Lémirat pourra peut-être compter sur ses voisins, riches en pétrole pour le secourir et notamment Abou Dhabi, mais il passera de leau sous les ponts avant que la clientèle occidentale ninvestisse à nouveau dans cet état qui paraissait être le lieu de toutes les démesures !
Dubaï, cest les voitures de luxe, les extravagances, les excès en tout genre sous un soleil de plomb. Près des sables du désert dArabie Saoudite, Dubaï a grandi près des eaux calmes du golfe Persique en atteignant un luxe inouï et un gigantisme qui attirait tous les hommes daffaires et les vedettes du show biz du monde entier. Les Ferrari se frayaient un chemin au milieu des Rolls et des Porsche, des îles en palmiers voyaient le jour, les immeubles luxueux se dressaient vers le ciel comme une cible impossible à atteindre Dubaï, cétait le rêve des milliardaires, les hôtels de luxe, les piscines à en être jaloux Dubaï, au milieu des sables chauds cétait aussi une petite piste de ski Le comble du luxe sous un soleil ardent ! Lexcès était partout à Dubaï
Mais sous le luxe se cachait une situation économique désastreuse surtout depuis le début de la crise économique Dubaï sest tu, Dubaï sest cachée mais mercredi soir Il a bien fallu que Dubaï sorte de sa torpeur et de son silence pour avouer que lEmirat était au bord du gouffre et que la faillite pointait le bout de son nez Mercredi soir, les lumières se sont éteintes pour le début de lAïd al-Adha pour certainement de longues vacances Les grues se sont arrêtées, les chantiers ont été désertés pour avouer que Dubaï avait des dettes énormes, plus que son PIB. Le communiqué a été bref : Dubaï a demandé à tous ses fournisseurs une prolongation déchéance jusquau 30 mai 2010. Les deux sociétés dépendant de lEtat imploraient donc les banques de leur accorder un sursis, ce qui, évidemment, suggérait que lEmirat était en mauvaise posture
Ce communiqué a provoqué un vrai chaos dans le monde de la finance Quoi ? Dubaï ne peut plus régler ses dettes ? Officiellement, la dette est de 80 milliards de dollars mais officieusement, il se murmure que cela pourrait être le double ! Quant à la trésorerie, elle aurait peu ou proue disparu Ce fut donc le branle-bas de combat chez les banques occidentales et les entreprises de construction, la tour qui devait être la plus haute du monde, nétant même pas finie !
Hier jeudi, dans toutes les places boursières, les indices étaient en chute libre, augurant peut-être dune nouvelle catastrophe à la Lehman Brothers
Désormais, les Kylie Minogue et autre David Beckham ou Paris Hilton ont déserté Dubaï, Kylie Minogue ayant fait linauguration du célèbre hôtel Atlantis où lon peut admirer la faune sous-marine dans les chambres Encore une folie dans le luxe !
Aujourdhui, les voitures sont couvertes de poussière à laéroport, les propriétaires fuyant les lieux et un Etat qui utilise encore la prison pour dettes
Alors qui a fait quoi à Dubaï et pourquoi ? Pourquoi ne pas avoir prévenu plus tôt ? Pourquoi avoir laissé les choses se poursuivre jusquà la faillite ? Pourquoi le Sheikh Mohammed na-t-il dit un mot sur la situation ?
En tout cas, Dubaï mettra du temps à se remettre et à attirer à nouveau toute la jet set du monde entier et les investisseurs. Lémirat pourra peut-être compter sur ses voisins, riches en pétrole pour le secourir et notamment Abou Dhabi, mais il passera de leau sous les ponts avant que la clientèle occidentale ninvestisse à nouveau dans cet état qui paraissait être le lieu de toutes les démesures !